MORGANE BRITSCHER
– – – – – Résidence 2018/2019– – – – –
Le projet des ateliers de pratique photographique invite les participants à porter un regard sur leur quotidien et leur environnement proche (école, village, campagne) à travers l’objectif et la réalisation de photographies. Ces ateliers de durée variable ont un premier contact avec cet art des images, mais il permettent aussi au public de se familiariser à la compréhension des images et au sens qu’elles véhiculent.
« Ma recherche s’entremêle d’images de lieux et du lien que je tisse avec le territoire.
Je pense que les lieux sont nos fondations, influencent nos choix et nos pensées, nous permettent de nous construire et nous marquent à jamais.
Mon travail questionne mon histoire mais plus largement celle de tout à chacun, nous sommes tous marqués par des lieux, ceux d’une enfance, d’une vie ou d’un instant.
Que nous en reste-t-il ? Comment pouvons-nous les transmettre?
– – – – – La résidence 2017/2018– – – – –
« Ma recherche s’entremêle d’images de lieux et du lien que je tisse avec le territoire.
Je pense que les lieux sont nos fondations, influencent nos choix et nos pensées, nous permettent de nous construire et nous marquent à jamais.
Mon travail questionne mon histoire mais plus largement celle de tout à chacun, nous sommes tous marqués par des lieux, ceux d’une enfance, d’une vie ou d’un instant.
Que nous en reste-t-il ? Comment pouvons-nous les transmettre?
J’aime mêler images et mots, j’imagine cette résidence comme un moment d’échange entre le territoire, les habitants et moi.
Je cherche à mettre en lumière de manière sensible un territoire et ceux qui l’usent et en font l’expérience, enrichir ma recherche de lieux et de rencontres.
Les paysages doivent se découvrir, se raconter, se contempler...
Je souhaite arpenter ce territoire, à la recherche, de points de vue, de lumière, de paysage, je souhaite le vivre au travers des différentes saisons, mes images seront le reflet de mon passage dans ces lieux.J’envisage également la résidence dans la continuité de mes recherches, amener tout un chacun à regarder puis enfin à voir leurs paysages.
Faire échos à une partie de soi qui constitue, au travers des lieux, qui nous sommes.
Ces territoires, enfouis en nous, façonnent notre manière de vivre et influent notre encrage à de nouveaux paysages.
Sur un territoire commun, comme celui du pays du Clermontois, ces habitants se nourrissent des paysages et le nourrissent en retour de qui ils sont et des lieux passés qui les ont marqués.
Nos territoires intimes deviennent les pointillés d’une construction commune. »